
Le premier Fast and Furious était un pop-corn-movie consommable, le second dépasse les limites de l’idiotie à défaut de vitesse, le dernier est inclassable. Cette histoire de dangereux trafiquants, prétexte à quelques poursuites automobiles, enfile les perles et les clichés avec une désinvolture qu’on souhaiterait parodique mais qui ressemble davantage à un foutage de gueule cynique et carabiné. Ce serait encore faire trop d’honneur à Luc Besson que de comparer la franchise de Fast and Furious et la trilogie Taxi, mais il faut reconnaître que la formule américaine grosses cylindrées plus blagues ... Lire la suite »