
Un piano à queue, une lumière bien foutue, un type derrière le piano et sous la lumière ; la grande classe. Pierre Lapointe est tout seul face au public compact et humide – peut-être que certains se sont retrouvés sous le Club Tent uniquement pour fuir le déluge alentour, gageons qu’ils auront fait une belle découverte par la même occasion – mais on a un peu l’impression d’être dans son salon.
On pourrait lui reprocher d’écrire... Lire la suite »