
Comme l’a fait Yoann Bourgeois, concepteur et scénographe de Celui qui tombe, on pourrait utiliser des mots compliqués pour parler de ce qui se passe sur la scène, occupée par six danseurs et une immense plateforme mobile. Comme lui, on pourrait utiliser le terme de « principe circassien » et chercher la complexité de sa démarche, mais c’est un spectacle qui n’a pas besoin d’être compris. Le ressenti suffit et le spectateur tenu en haleine participe, s’inquiète pour les personnages, suit chaque mouvement du regard; on entend des... Lire la suite »